Thème
La science du Coeur
Vidéos des visioconférences La science du Cœur selon le Taoîsme et la médecine chinoise
des 6 et 12 février 2021
La science du Cœur selon la médecine chinoise et le taoïsme, première partie
Au cours de cette première séance, nous allons aborder la médecine chinoise pour mieux comprendre comment nous sommes constitués d’une manière énergétique et subtile.
A travers le taoïsme nous aurons l’occasion d’aborder les notions d’énergie, de circulation et de rythmes pour comprendre le rôle essentiel de chaque organe et l’importance de tout ce qui régit notre vitalité.
Le cœur de l’homme debout entre ciel et terre perçoit et intègre l’univers.
Tout est contenu dans ce magnifique poème de Lao Tseu :
Il existe un tunnel obscur dans la lumière infinie, on le nomme temps.
Lorsqu’un être humain entre dans ce tunnel on appelle cela naître.
Lorsqu’un être humain marche dans ce tunnel, on appelle cela vivre.
Lorsqu’un être humain sort de ce tunnel, on appelle cela mourir.
Considérer que vivre se réduit à évoluer dans le tunnel obscur, cela s’appelle illusion.
Percer des trous dans le tunnel obscur, cela s’appelle science.
Savoir que la lumière est autour du tunnel, cela s’appelle foi.
Voir la lumière dans le tunnel obscur, cela s’appelle amour.
Voir la lumière à travers le tunnel obscur, cela s’appelle sagesse.
Eclairer le tunnel obscur de sa propre lumière, cela s’appelle sainteté.
Ressentir l’unité entre la lumière et le tunnel obscur, cela est au-delà des mots.
La science du Cœur selon la médecine chinoise et le taoïsme, deuxième partie
Dans cette deuxième partie, nous allons parler des cinq éléments de la médecine chinoise, de leur mouvement et mutations en lien avec nos organes et nos qualités psychiques et spirituelles.
Chaque élément est important, chaque organe est important, chaque qualité psychique est importante et leur interaction détermine notre vitalité. Nous aborderons les qualités et les souffles de chacun ainsi que les problèmes qu’engendrent leur dysfonctionnement.
Nous allons donc retrouver les cinq points du cœur qui correspondent aussi aux cinq éléments qui doivent être en harmonie pour que le cœur subtil (shen) puisse faire son travail.
On ne peut séparer le physique du psychique ou du spirituel : c’est une unité, nous sommes un tout, nous sommes Un.
La science du Cœur selon la médecine chinoise et le taoïsme, troisième partie
La médecine chinoise présente un aspect pratique, une connaissance de l’être humain ainsi qu’une compréhension du fonctionnement de l’individu au travers de ses émotions, au travers de ses sentiments, au travers de sa vie en général.
Aujourd’hui, nous aborderons les cinq émotions reliées aux cinq éléments, toujours en lien avec le cœur. Nous verrons comment et pourquoi préserver le vide médian du cœur.
L’intérêt étant de mener sa vie à partir de ce vide médian, du cœur, pour atteindre la liberté intérieure : liberté de recevoir les souffles de la terre et du ciel dont le cœur est le miroir, liberté de mener sa vie comme elle se doit et, comme un bon taoïste, de recevoir la vie avec tous ses événements, bons ou mauvais, comme des bénédictions.
Découvrons comment cultiver l’art du cœur pour un art de vivre.
La science du Cœur selon la médecine chinoise et le taoïsme, quatrième partie
Allons plus loin dans l’étude des émotions et des effets qu’elles ont sur nous.
Quelle différence y a-t-il entre la joie et l’allégresse, quel lien avec l’amour ?
Que faire de notre colère, est-elle seulement négative ? Que se passe-t-il quand le découragement ou la tristesse nous envahissent ?
Par une meilleure compréhension de notre fonctionnement et quelques exercices simples essayons de préserver notre harmonie intérieure et de faire circuler les souffles vitaux dans notre cœur.
Retrouvez ici les transcriptions disponibles
La science du Cœur selon la médecine chinoise et le taoïsme, première partie
La science du Cœur selon la médecine chinoise et le taoïsme, deuxième partie
La science du Cœur selon la médecine chinoise et le taoïsme, troisième partie
La science du Cœur selon la médecine chinoise et le taoïsme, quatrième partie